Saint Martin au milieu de son peuple
par le père Pierre Lambert
Contrairement aux générations qui nous ont précédés, saint Martin est peu présent aujourd'hui dans notre vie. La guinguette parisienne ''Au grand Saint-Martin'' n'existe plus. Les vignerons ne sont plus victimes du Mal Saint-Martin. Dans les foires, il n'y a plus d'âne qui s'appelle Martin.
Depuis la première biographie, écrite peu avant sa mort par son ami et disciple Sulpice Sévère, il existe de nombreux livres sur la vie et l'œuvre de saint Martin.
Dans ''Saint Martin au milieu de son peuple'', le Père Pierre Lambert, du couvent des dominicains de Tours, propose de découvrir la personne de saint Martin, non pas selon l'histoire officielle, mais selon les traditions, légendes, fabliaux, chansons et dictons populaires.
A l'ombre d'un royaume par Alix Goisque
suite de "Le prince oublié"
« Un garçon vaut toujours la peine que l’on prend pour lui », écrivait Serge Dalens ; c’est pourquoi quand Thibault Le Bretz voit son frère Geoffroy s’engager dans une mauvaise voie, il est prêt à tout pour le sortir de là. Et quand le service du Prince l’oblige à partir pour l'Ecosse, il peut compter sur Jacques et Alix pour prendre le relais.
Tandis qu'il chevauche à travers les Highlands en levant peu à peu le voile sur une terrible conspiration, Jacques sillonne sans relâche les rues de Paris en moto pendant qu’Alix s'enferme dans les archives familiales...
Des rives du Loch au château perdu dans le vent, des bars animés de Grandville à l'abbaye du Mont-Saint-Michel, les Insurgés vont retrouver les chemins d'une aventure à l'amer goût de pluie et d'orage, sur fond de cornemuses… Sur eux plane toujours l’ombre d’un prince en quête de son royaume.
L’auteur :
Troisième d’une famille de quatre enfants, Alix Goisque est une jeune tourangelle. Le scoutisme qui berce sa jeunesse lui a donné cette passion et cette soif d’idéal qui transparaissent dans ces lignes pleines de fougue
ISBN : 9791094556184– 230 pages - 16 €
Du poison au Pardon par Priscille Roquebert
« Du Poison au Pardon » raconte la vie d’une petite fille confrontée très tôt à la maladie et à la violence de son père. À travers ces traumatismes, elle découvre en même temps la gratuité de l’Amour de Dieu.
Cette petite fille fait le constat douloureux que la grâce n’efface rien : ni la douleur ni la maladie, malgré la révélation forte qu’elle vient de vivre.
Commence alors un long cheminement fait de choix posés les uns après les autres : apprentissage et conquête de la liberté.
Cette histoire raconte la complexité d’une vie, du pardon, des sentiments et des chemins de guérison intérieure : les étapes d’une croissance humaine et spirituelle.
À travers son témoignage, l’auteur partage avec nous un message fort d’espérance et de résilience montrant que sur le chemin de la vie le choix d’avancer vers la liberté est toujours possible et que « Dieu ne te sauve pas sans toi ! ».
« Ce livre est une bombe de miséricorde dans un monde de discorde. » Laurent Gay
L’auteur :
Priscille Roquebert est mariée et mère de quatre enfants. Elle est aide-soignante et habite en Vendée.
ISBN : 979-10-94556-177 - 190 pages - 18 €
16 avril 1746, la bataille de Culloden marque de son sceau tragique la mémoire des Highlands. Le prince Charles Stuart qui, toute sa vie durant, a tenté de récupérer le trône de son père pour régner sur l’Ecosse, s’exile en France et meurt sans laisser de descendant…
Ainsi s’achève l’histoire officielle…
Près de trois siècles plus tard, Thibault, Jacques et Alix se retrouvent entraînés dans une mission qu’ils ont acceptée sans en connaître tous les enjeux. Ces trois jeunes Français qui n’auraient jamais dû se rencontrer vont relever le défi et se lancer avec fougue dans une véritable partie d’échecs aux multiples rebondissements.
Entre trahisons, désillusions et amitiés, ne vont-ils pas perdre le contrôle de l’insurrection, en faisant éclater des vérités que certains auraient préféré tenir cachées ?
L’auteur :
Troisième d’une famille de quatre enfants, Alix Goisque est une jeune tourangelle. Le scoutisme qui berce sa jeunesse lui a donné cette passion et cette soif d’idéal qui transparaissent dans ces lignes pleines de fougue
ISBN : 979-10-94556-160 – 260 pages - 16 €
Zachée, je viens chez toi
par Nadia Piccarreta
Est-ce par simple curiosité que Zachée a suivi cette foule qui accompagnait Jésus et qu’il est monté sur le sycomore ? Bien sûr que non ! Zachée s’est donné les moyens de vivre cette belle rencontre avec Jésus malgré l’hostilité de la foule. « Comment Jésus vient-il chez Zachée, ce grand pécheur ? »
Le sycomore est à la fois pour Zachée un lieu de refuge et le moyen qui permet de se rapprocher de Jésus, puisque c’est là que Jésus va lui demander de descendre. Jésus fait de Zachée un personnage nouveau, un ami de Dieu.
Zachée veut voir.
En lisant cet ouvrage, tu verras toi aussi tous les sycomores cachés au fond de ton cœur. Grâce au sacrement de confession, tu pourras t’avancer vers le prêtre qui représente Jésus, prêt à t’écouter. Tu pourras avouer tes péchés et recevoir le pardon de tous tes péchés.
Et si cela devenait un véritable appel de Dieu ? « Descends vite, je viens chez toi » dit Jésus !
Nadia Piccarreta est mariée et mère de 3 enfants. Elle est catéchiste en paroisse et en aumônerie depuis de nombreuses années. Elle est également l’auteur de « Et, elle s’est emparée du Royaume » aux éditions Téqui.
L’histoire d’Yves et Ligia Guézou est un hymne à la vie et à l’amour quand tout semble désespéré. Vivant à des milliers de kilomètres, Yves entre la Bretagne et Paris, et Ligia entre le Brésil et les capitales européennes, ont traversé les épreuves de la vie en frôlant les portes de la mort. La rencontre au plus profond de leur cœur avec le Christ va les relever et les amener à se rencontrer eux-mêmes.
Lui, dessinateur, a vécu la dépression, la perte totale de confiance en lui, dans les autres et dans la vie. Elle, sociologue, a vécu les désillusions politiques de son pays au temps du marxisme, les égarements du cœur d’une jeune femme dans les ruptures amoureuses et un mal-être profond. Sortis de leurs angoisses, leurs yeux se sont ouverts. Au détour d’un apéritif paroissial, ils se sont rencontrés pour ne plus se quitter. En voie de guérison, assoiffés de vivre pleinement cette vie qu’ils ont appris à goûter à nouveau, ils sont partis vivre un an au Brésil avec l’organisme Points-Cœur pour écouter le cri des enfants, des femmes et des hommes démunis des Favelas. Ils ont réappris à s’aimer, à aimer, à faire confiance en Dieu et en la vie. Récit d’aventure autant que plongée au cœur de l’âme humaine nous confrontant à ce que chacun vit en soi : la lutte entre nos zones d’ombre et notre part de lumière, Yves et Ligia nous bousculent par leur témoignage solidement ancré dans la conviction que Dieu peut tout.
Ce récit haut en couleurs est un chant d’espérance, une bouée pour tous ceux qui croient se noyer mais ont oublié que l’amour est plus fort que la mort.
Faustine Fayette
L’itinéraire bouleversant d’un homme et d’une femme unis par la Providence ; chacun éprouvé par la souffrance, tous deux témoins de l’œuvre de Dieu à chaque minute de leur existence.
Anne-Laure Filhol, La Vie
C’est un livre à cœurs ouverts, où Ligia et Yves, par le récit de leurs itinéraires tourmentés puis de leur lumineuse rencontre célèbrent la puissance agissante de Dieu au cœur de leur nuit et la force de son salut. Un très beau témoignage de foi et d’amour pour ressusciter nos cœurs et ceux de tous les infatigables chercheurs de Dieu ! Merci à eux !
Laurence de Louvencourt, Il est vivant !
ISBN : 9791094556146 - 246 pages - 20 €- Sortie novembre 2019 -
Itinéraire d'un croyant gâté
Jean-Marc Paing
avec Raphaëlle Simon
Lorsque Jean-Marc Paing, à l’âge de 28 ans, entre fortuitement dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, il ne sait pas encore qu’il va en sortir différent. Il lui faudra du temps pour qu’il réalise à quel point la grâce aura fait son œuvre… Aujourd’hui marié et père de quatre enfants, l’entrepreneur revient sur son parcours, parfois chaotique, et son abandon dans les mains de la Vierge Marie qui le mènera de conversions en guérisons. Il livre ici un témoignage saisissant, celui d’un homme qui s’est laissé bouleverser en choisissant de mettre le Christ au cœur de sa vie, et s’est senti poussé à « publier les merveilles de Dieu ».
"Jean-Marc Paing dans ce témoignage nous livre un récit passionnant d'aventures humaines et spirituelles sous la mouvance de l'Esprit saint". (Père Julien Antoine)
"Le témoignage de Jean-Marc, simple et humble, son cœur à cœur progressif avec Jésus et celui de sa sainte Mère nous fait avancer vers Dieu". (Elric Huguet du Lorin– RCF Touraine Loir-et-Cher)
Jean-Marc Paing, après une carrière commerciale dans l'aménagement de maisons de retraite, est maintenant éditeur et libraire à Tours.
Raphaëlle Simon, journaliste indépendante, ancienne rédactrice en chef de la radio RCF à Tours, collabore à divers titres de la presse chrétienne.
ISBN : 9791094556139 - 150 pages - 16 € - Sortie juillet 2019
C'est une procédure presque inédite qui est autorisée par le diocèse de Fréjus-Toulon. En effet, pour la deuxième fois de son histoire, il a autorisé l'ouverture d'un procès en béatification en faveur d'Anne-Gabrielle Caron. L'enfant décédé à l'âge de 8 ans en 2010, après une longue maladie, l'a vécue de façon édifiante. Aînée d'une famille très croyante et pratiquante, elle s'était battue jusqu'à son dernier souffle contre le cancer en s'appuyant sans cesse sur sa foi, explique France Bleu.
Malgré la souffrance de sa maladie, la jeune fille continuait pourtant de faire le bien autour d'elle. L'évêque monseigneur Dominique Rey, qui a donné son accord pour l'ouverture de la procédure, avait rencontré Anne-Gabrielle Caron. « Elle était joyeuse, vive, déterminée, entraînante. J'ai également été marqué par sa profondeur d'âme et sa charité alors qu'elle aurait pu se replier sur elle-même. Elle était unie à la souffrance des autres et au Christ », raconte l'évêque à France Bleu. Longtemps hospitalisée à La Timone à Marseille, la petite Toulonnaise voulait notamment « prendre la souffrance de tous les enfants hospitalisés ».
Des personnes obtiennent des grâces. C'est d'ailleurs pour cette raison que de nombreux témoignages arrivent régulièrement dans la boîte aux lettres de ses parents. Selon Pascal Barthélémy, le postulateur (l'homme chargé d'enquêter sur la « sainteté » de l'enfant), ces intentions envers Anne-Gabrielle seront essentielles en faveur de sa béatification. « Des gens invoquent Anne-Gabrielle, prient par son intermédiaire et obtiennent des grâces. Certains obtiennent des guérisons, qui ne relèvent pas du miracle, mais du jour au lendemain leurs médicaments sont efficaces. Ils ne l'étaient pas jusque-là. Ces récits pris un par un ne signifient pas grand-chose, mais, quand vous recevez beaucoup de témoignages du même ordre, vous vous dites il se passe quand même quelque chose », a-t-il confié.
Les personnes témoins des grâces d'Anne-Gabrielle Caron seront entendues par le tribunal réuni par l'évêque de Fréjus-Toulon. Une fois le dossier complet, il sera envoyé au Vatican, qui devra trancher sur une béatification ou non. La procédure pourrait durer de nombreuses années.
Le diocèse de Toulon a récemment ouvert la cause de canonisation de la petite Anne-Gabrielle Caron, une enfant décédée à l’âge de 8 ans en 2010, après une longue maladie vécue de façon édifiante.
La procédure diocésaine en vue de l’éventuelle béatification et canonisation de la petite Anne-Gabrielle Caron (2002-2010) emportée
par un cancer à l’âge de huit ans, a été officiellement ouverte dans le diocèse de Fréjus-Toulon, où elle a vécu. En 2016, Famille Chrétienne avait rencontré sa mère, Marie-Dauphine Caron, auteur du livre poignant Là où meurt l’espoir, brille l’Espérance (éd. du Sacré-Cœur). Celle-ci avait également témoigné, lors des 40 ans de Famille Chrétienne au sanctuaire d’Alençon en juillet 2018 de l’ascension spirituelle fulgurante de sa fille et de ses souffrances offertes par
amour pour les pécheurs. « Nous avons vécu avec Anne-Gabrielle quelque chose de “hors-norme”, même si nous n’en avons pas pris la mesure, confie aujourd’hui sa mère, très émue. Beaucoup nous témoignent qu’ils la considèrent comme une grande sœur. C’était une enfant, mais avec une maturité
d’adulte. » Marie-Dauphine confie aussi que « malgré l’immense joie et la grande action de grâces que suscite en nous
cette nouvelle, c’est un peu aussi vertigineux, tant nous avons conscience de notre petitesse. » Mais comme le disait
Anne-Gabrielle trois jours avant son rappel à Dieu, ‘je sais que tout ira bien car le Bon Dieu fera que tout aille bien’. »
Le postulateur de la cause, approuvé par Mgr Dominique Rey le 17 avril dernier, est Pascal Barthélemy, entrepreneur, père de famille et chrétien engagé. Les grâces reçues par l’intercession de la
future Servante de Dieu Anne-Gabrielle Caron doivent être adressées au diocèse de Fréjus-Toulon ou à l’adresse : priere.annegabrielle@gmail.com.
Trouver la prière
La procédure en vue de l’éventuelle béatification et canonisation de la petite Anne-Gabrielle Caron (2002-2010), décédée à l’âge de 8 ans, a été officiellement ouverte dans le diocèse de Fréjus-Toulon où elle a vécu avec sa famille révèle Famille Chrétienne. Emportée par un cancer, sa terrible épreuve a été l’occasion d’une ascension spirituelle impressionnante. Selon Mgr Dominique Rey, évêque de Toulon, Anne-Gabrielle Caron nous donne une magnifique leçon d’espérance. « C’était une enfant qui a vécu sa maladie à la ressemblance de la Passion du Christ. J’ai prié pour elle et j’ai pu voir cette petite personne qui — au cœur de sa souffrance — recevait la vie comme une offrande au Seigneur. Anne-Gabrielle était le témoin de Dieu. Elle était le signe de Dieu », a-t-il confié à Aleteia.
Souriante, épanouie, s’occupant volontiers de ses trois petits frère et sœurs et se réjouissant des activités scoutes auxquelles elle participe régulièrement, Anne-Gabrielle Caron est confrontée brutalement à la maladie et à la menace de la mort. C’est au cours de sa septième année qu’elle se plaint de plus en plus de douleurs dans une jambe. Six mois plus tard, le diagnostic tombe : Anne-Gabrielle souffre d’un cancer très rare — le sarcome d’Ewing — qui l’atteint au tibia. Elle suit une chimiothérapie pendant huit mois à l’hôpital de La Timone à Marseille. Toute la vie familiale est bouleversée… Un grand soutien logistique et spirituel se met en place grâce aux proches et aux infirmières de l’hôpital. Malgré différents traitements, le cancer récidive. Il se propage dans tout le corps de l’enfant, en attaquant tous ses os. Sous morphine, Anne-Gabrielle supporte à peine le poids de son propre corps.
Pourtant, du haut de ses quelques années, elle donne une magnifique leçon d’espérance. Cette petite fille de huit ans incarne l’exemple que citait Jean Paul II dans sa lettre apostolique Salvici doloris : « À l’exemple du Christ, la souffrance peut devenir une prière. Unie à celle de Jésus, la souffrance est capable d’entrer dans l’ordre de l’amour et de retomber en grâces pour les autres. »
Comme l’explique Marie-Dauphine Caron, la mère d’Anne-Gabrielle, dans un livre/témoignage poignant Là où meurt l’espoir, brille l’Espérance, il n’y a pas de « oui » à la souffrance. Il s’agit plutôt d’un « oui » à l’amour que nous pouvons donner à travers cette souffrance. Dans le même temps, une telle offrande est une preuve d’amour envers le Christ, une preuve qui prend le contre-pied des péchés des hommes. Anne-Gabrielle appelait cela « consoler Jésus ». Elle affirmait ainsi : « Même si je n’aime pas être malade, j’ai de la chance, car je peux aider le Bon Dieu à faire revenir les gens vers Lui ».
Au cours de la maladie, la vie d’Anne-Gabrielle s’articule dans la cohabitation de la croix et de la joie. Quelques mois avant sa mort, elle confie encore à sa mère : « J’ai demandé au Bon Dieu de me donner toutes les souffrances des enfants de l’hôpital. » Et elle précise : « Je souffre tellement que si eux pouvaient ne pas souffrir… » Comme en témoigne sa mère, Anne-Gabrielle est déterminée. Elle désire être une grande sainte, « comme sainte Thérèse de Lisieux ! « . C’est ce qu’elle dit un jour avec assurance : « Mais je serai sainte ! « . Peu après, elle confie à sa mère : « Je me dis de temps en temps (pas souvent) que, quand je serai morte, je me dirai qu’en fait, ce n’était pas difficile du tout de faire le bien. C’est vrai, ce n’est pas difficile d’être gentille, de penser aux autres, d’obéir et de ne pas taper ses frères et sœurs. »
Le dernier mois de sa vie est marqué par des moments de grâce. Anne-Gabrielle pardonne à ceux qui lui ont fait du mal, comme à ceux qui se sont moqués d’elle. Elle exprime la volonté de demander pardon à tous ceux qu’elle a pu blesser. Elle redit également son amour à l’égard de ses parents, de son frère et de ses deux sœurs. En tenant une image du Christ en croix, elle s’écrie : « Non ! C’est trop !… Jésus… Il a trop souffert… ». Ses prières prennent une telle valeur que des proches lui confient des intentions. Certains d’entre eux témoigneront plus tard avoir été exaucés. Mgr Dominique Rey se souvient d’un jour en particulier. Il venait de lui apporter la communion. Pour la première fois en dix-huit mois d’épreuve, elle lui dit que la coupe est trop remplie, que tout cela est trop pour elle. C’était la veille de sa mort. Quelques heures plus tard, on la retrouve en paix. C’est ainsi qu’elle fait ses adieux. Elle s’éteint dans la soirée du 23 juillet 2010, après une agonie de 30 heures au cours de laquelle elle reste consciente jusqu’au bout. « Voir Anne-Gabrielle, c’était voir Dieu », témoignera un prêtre à son enterrement.
Le postulateur de la cause, approuvé par Mgr Dominique Rey le 17 avril, est Pascal Barthélemy, chrétien engagé, entrepreneur et père de famille. L’enquête diocésaine prendra plusieurs mois avant d’être transmise au Vatican. « Il faut du temps pour rassembler et mettre en forme de nombreux témoignages qui ne cessent d’affluer », explique Mgr Rey.
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